La journaliste de France Inter et France Télévisions à la tête de Vous avez la parole avec Thomas Sotto sur France 2 et Le doc Stupéfiant ! sur France 5 célèbre, ce dimanche 27 octobre, ses 40 ans ! Et Léa Salamé, jeune maman d’un petit Gabriel, né en mars 2017, peut être fière de son parcours journalistique ! Passée par Public Sénat, France 24 et iTELE, cette diplômée de Sciences Po Paris détient l’un des CV les plus exemplaire du PAF. D’où tient-elle cette ambition, cette assurance affichée et cet insatiable besoin de perfection ? Sûrement de son enfance !
Léa, née Hala, est venue au monde à Beyrouth au Liban. Elle a obtenu la double nationalité libano-française après que sa famille a dû fuir la guerre. « On habitait à deux pas de l’endroit où était recroquevillé Yasser Arafat, le leader palestinien » a-t-elle expliqué à Grazia, se remémorant les cinq premières années de sa vie avant son arrivée en France. Sa mère, Mary Boghossian, d’origine arménienne, est la sœur des diamantaires Jean et Albert Boghossian. Son père, Ghassan Salamé, politologue, fût là-bas ministre de la culture, professeur à Sciences Po Paris avant de devenir le conseiller spécial du secrétaire de l’ONU Kofi Annan… entre autres ! C’est dire que Léa, issue de la haute bourgeoisie, a grandi dans un entourage élitiste. Pour autant, elle aurait pu jouer les dilettantes mais dans la famille Salamé, il n’en était pas question car l’excellence devait primer ! « Mon père était extrêmement exigeant avec ma sœur et moi, a-t-elle raconté à nos confrères du magazine Gala. Par exemple, quand il a reçu mon premier bulletin de notes de sixième qui était moyen, il en a fait une boule au milieu du salon et a joué au foot avec en s’exclamant : « C’est nul !« . Elle poursuivra en analysant : « Le « moyen » ou le semi échec étaient pour lui inacceptables (…) Il voulait que nous soyons indépendantes financièrement, c’était une obsession chez lui« .
Certains ont laissé entendre que les connexions familiales lui permirent de rentrer dans les écoles parisiennes les plus exigeantes (le lycée Saint-Louis-de-Gonzague ou l’Ecole Alsacienne) : il n’empêche, les carnets de notes de Léa étaient brillants. Elle poursuivra son parcours estudiantin avant Sciences Po à l’université de New-York d’où elle reviendra précipitamment après les attentats du 11 novembre 2001, un épisode quel évite toujours de commenter.
Forte de cette scolarité impeccable, et sans doute de ses origines métissées, elle a fait du débat sa force et son unicité. Avec la même exigence et un parcours tourné vers les arts (elle est diplômée de l’Ecole des arts décoratifs et l’Ecole des Beaux arts de Paris), sa sœur cadette Louma, elle, est devenue notamment directrice adjointe du Guggenheim à New-York puis chargée de communication à l’Agence France-Muséums Louvre Abou-Dabi avant de prendre la direction générale de la Villa Empain à Bruxelles, un centre d’art qui se veut une passerelle entre les cultures d’Orient et d’Occident. Les mécènes de cette fondation sont son oncle et ses cousins du côté de sa maman. Monsieur Salamé, si exigeant avec ses filles peut en être fière : Léa et Louma ont bien tracé leur route…
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